La voiture avance dans l’allée et sous votre passage, les lumières extérieures s’allument. Pas de souci pour chercher vos clés au fond de votre sac et vous pouvez profiter des abords de votre jardin. Pour que cela ne soit pas une expérience décevante, attention à ces points de vigilance :
Des détecteurs de mouvements non énergivores :
Une lumière qui s’allume à la moindre présence, c’est plus sécuritaire. Pourtant, attention à la facture d’électricité. Il est important de prendre un éclairage LED très peu énergivore et surtout un bon niveau d’éclairage.
Celui-ci va varier en fonction de la superficie à éclairer et donc du nombre de lampes qui seront installées. Par exemple, pour une terrasse avec des appliques murales à lumière indirecte, on estime qu’il faut mettre 5 appliques de 1 200 lumens (soit l’équivalent de 12 watts, chacune). Cela peut être plus, en fonction du luminaire utilisé, bien sûr et de l’endroit.
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Quel IP ?
L’Indice de Protection ou IP exprime la capacité, pour une lampe extérieure, à supporter les intempéries.
Un IP 44 résiste à des projections d’eau, mais n’est pas étanche. Quand on veut un produit totalement étanche, il faut un IP 65. Ces produits sont en général plus chers, mais plus durables dans le temps.
L’angle de détection et le temps d’éclairage :
Certains modèles ne prennent en charge que des angles à 180°. Si vous préférez un angle à 360°, regardez bien ce que permet l’article que vous envisagez d’acheter.
Son action peut être limitée par des obstacles. A réfléchir avant la pose définitive.
Pouvoir choisir le temps d’éclairage est parfait, mais tous les systèmes ne le permettent pas.
Quelle sera la portée de détection :
Une lampe qui se déclenche quand une personne est à deux mètres, c’est bien. Mais certains éclairages fonctionnent à partir de 14 mètres !